diversion.

Nateka arriva a Fira apres le conseil d'Eterna. il pénétra dans l'enceinte de la ville habillé d'un pantalon noir et d'un haut foncé mais un peu plus grisé. il portait une cape qui le couvrait complètement. en arrivant dans Fira, il retira ca capuche pour regarder autour de lui. la ville était animé, vivante... il s'avanca doucement regardant a gauche et a droite puis vit un bar. il y pénétra et alla au comptoire. il ne buvait pas souvent. mais son arrivé a fira lui donna envie de goutter queqleu cocktail.

il regarda la pancarte de menu au dessus du barman puis commanda une vodka mariné pomme. sa boisson lui fit apporté. il en but nue bouché. la boisson n'était pas mauvaise. Nateka se retourna pour regarder les personne présente dans la salle.

[T_T alone]

L'auberge...Ah quel lieu sublime de diverses rencontres, étranges et moins étranges...Elle aussi avait décidée de faire une halte dans la ville marchande de Fira hoistoire de se réstaurer quelques temps avant de reprendre son long voyage. La démarché bien féminine, la silhouette grâcieuse et délicate s'avancait tel un félin dans les ruelles.

Ses longs cheveux blancs comme neige qui longeaient son dos tel une merveilleuse avalanche de poudreuse, jusqu'à la cambrure de ses reins. Ses yeux, deux amandes de jade scintillantes, qui toisaient le moindre individus sans peur ou sans même un seul sentiment de gêne. Son sourire, narquois et mauvais à la fois, peignant imperciptiblement son visage au teitn hâlé par le soleil.

Son buste, ainsi que sa poitrine sont mis en valeur par un haut blanc, proche du corps pour une meilleure habileté au combat sans doute. Ses longues jambes, de mêmes, couvertes d'un tissus léger et grâcieux à la fois, d'un blanc de nacre parfait, en fait, c'est plutôt une sorte de jupe-short qu'elle semblait porter.

Tant de blanc pour mettre en valeur son si attirant teint bazané. Elle ne manque pas ainsi d'attirer de nombreux regards masculins, et même féminins, ce qui la fait sourire encore plus d'ailleurs.

Ses mains se posent sur le bois de la porte de l'Auberge, puis elle l'ouvre, d'une simple pression, découvrant alors pour la première fois cette auberge dont elle aait tant entendue parler.

La ville était renommée pour son ambiance chaleureuse, pour ses divertissements…enfin une ville pas touristique mais attractive. Et pourtant on pouvait plutôt constater le contraire.
Nateka commençait à entre guillemet s'endormir quand une jeune femme habillée de blanc fit son entrée. Il y avait dans son attitude quelque chose d'aguichant...enfin un désire de se mettre en valeur. Et apparemment cela plaisait bien a cette personne. Elle entra d’un pas léger, et plein d’entrain dans le bar. Il la regarda blasé, contrairement aux autres personnes présentes. Tous la regardaient se retournant sur son passage. Comme on pouvait si bien le dire il la matait. Le jeune homme trouvait ça ridicule de se mettre en valeur ainsi. Il fallait dire aussi qu’il n’avait jamais eu goût à ce genre de créature. Lui qui avait toujours vécu dans l’ombre, le plaisir ne faisait pas partie de sa mentalité.

Il se retourna face au comptoir observant le barman qui préparait un autre cocktail. Il manipulait le tout a merveille. Mélangeant différents liquides ensemble, des couleurs se formaient pour immédiatement changeait a l’ajout d’une autre liqueur. Cela était bien fascinant a regarder la dextérité et la rapidité a la quel il préparait la boisson.

Nateka but une nouvelle gorgée de sa vodka. Il regarda la surface du liquide, de sa couleur légèrement jaunie, la boisson faisait de petite vague, ou des ondes… sans même se rendre compte son visage avait prit un air un peu nostalgique. A vrai dire cela était bien normal. Le jeune noble était aspiré dans ces pensées. Par son passé…il n’avait jamais rien fait pour lui…il était peut être temps de changer un peu…tout comme se monde. Il avait les mains souillées de sang, son esprit torturé par sa conscience. Que pouvait-il bien faire d’autre ? a part changer ?!?...

L'entrée de la jeune femme fut des plus banales pourtant. une démarche bien à elle, certes, mettant en valeur ses formes et sa silhouette grâcile. mais était-ce un mal que de vouloir valoriser son corps ? Non, Et puis, s'il n'aimait pas, il n'avait qu'à venir le lui dire, lui faire savoir, elle se donnerait sans doute à coeur joie de l'acceuillir comme il se devrait, entre bonnes gens.

Elle rejoignit bien vite une petite table isolé, dans un coin du bar, sombre, et ou bien souvent quelques regards masculins fuyaient pour apercevoir la moindre partie de son anatomie...

En bon chercheur de finance, le barman avait cru bon de venir vers elle, de son pas jovial, et de son sourire commercant, pour espèrer la faire consommer, qu'elle prenne n'importe quoi, pourvu qu'elle fasse marcher l'entreprise. Et c'est tout naturellement, sur un ton las qu'elle le renvoyait derrière son bar. les paupières n'avait même pas daignés s'éclorent, son sourire n'avait pas daigné apparaître, et son attitude était des plus mauvaises.

Nateka vit le barman revenir derrière son comptoir d’un air déçu. Il se retourna pour regarder la nouvelle venue. Elle semblait de mauvaise humeur. Elle dégageait quelque chose de peu accueillant. L’homme d’affaire, tira le chiffon qui pendait à son tablier pour nettoyer le bois poli tout en se lamentant de mille et une chose : de son commerce pas toujours merveilleux, des bagarres qui parfois éclataient dans les rues et détruisaient une ou deux vitres. Enfin de quoi écrire tout un roman. L’assassin l’écouter se plaindre sans broncher. Il termina son verre de vodka et déposa de l’argent sur le comptoir.

"Gardez la money !"

Il n’y avait pas grand chose, peut être quelques dizaines de centimes en plus. Mais cela avait bien fait plaisir au patron et n'encoubrait pas le jeune homme de poid en plus. Nateka rangea la petite bourse qu’il avait sortie pour payer. Il prit dans la main l’épée qu’il avait posée contre le comptoir. L’épée magnifique : c’était une arme runique, rien que le fourreau était fait d'un alliage, d'argent et d'acier, sur lequel était sculpter des signes elfiques : des courbes et des signes semblable a des écritures faisait de la protection, rien de la protection un objet d’une somme inestimable. La manche, seule partie visible de l'épée était aussi dans le même ton gris un peu brun luisant, et au centre une pierre bleu pâle y était incrustée. On pouvait facilement deviner comment pouvait être la lame...et la valeur de cet instrument.
Le commerçant ne put s’empêcher de faire de gros yeux énormes et luisant pleins de fascination.

"Dite moi garçon ! C’est une merveille que tu tiens là !"

On aurait dit qu’il voulait ajouter quelque chose d’autre mais s’abstenu d’en dire plus. Nateka se tourna vers l’homme ayant une quarantaine d’année et d’un ton indifférent il répondit comme si il l’ignorait que cet arme avait une si grande valeur.

"Peu être bien."

"Peut être bien ?!? vous rigolez j’espère ! on pourrait bien s’acheter un maison ou une trentaine de coureur ou destrier avec cette arme."

Il devina bien que le jeune noble faisait semblant de l’ignorer. Bien entendu que c’était une grande arme de valeur. Nateka posa son arme sur le comptoir juste sous ces bras croisé au dessus. Tout en se forçant, il demanda d’un ton toujours aussi neutre mais cet fois si d’un air plus provocateur :

"Comment un simple commerçant tenant un modeste bar en connaît autant ? "

Serte ! tout le monde savait qu’une arme pareil pouvait rapporter beaucoup, mais de la, à donner une estimation plus ou moins proche de la réalité.

[ hey! t'es toujours là? tres cher demoiselle. ]